Bourse de paris cac 40
Acheter action bourse Acheter une obligation Obligation convertible Choisir placement financier Société placement immoblier Investir en bourse Gagner en bourse baisse Choisir sa SICAV Fonds monétaire Trachers et warrant Investir dans l’or Quel épargne choisir? Assurance vie en euro
Michelin – une stratégie pneu orthodoxe
48°52′09″N 2°20′29″E / 48.86917, 2.34139 La Bourse de Paris, rebaptisée Euronext Paris filiale d’Euronext depuis 2000, est le marché officiel des actions en France. Le lieu historique qu’elle a longtemps occupé à Paris est le Palais Brongniart. Euronext Paris fait désormais partie du groupe NYSE Euronext.
Organisation et fonctionnement de la Bourse de Paris
La négociation se réalisait traditionnellement à la criée. Depuis la fin des années 1980, la Bourse de Paris est désormais un marché entièrement électronique, grâce à la mise en place du système CAC (cotation assistée en continu), remplacé dans les années 1990 par la technologie NSC.
De manière générale, la Bourse de Paris est considérée comme un marché dirigé par les ordres ou marché d’agence. Les prix des actions cotées sont déterminés par la confrontation directe des ordres d’achat et de vente au sein d’un carnet d’ordres centralisé. Dans certains cas, des intermédiaires spécifiques appelés ‘teneurs de marché’ peuvent intervenir dans l’animation de la cotation de certaines valeurs : ceci donne lieu à la création de contrats d’apporteurs de liquidité. Leur travail consiste à placer des ordres en attente de manière à garantir l’existence d’une contrepartie.
La négociation des actions diffère selon leur liquidité. Les actions liquides sont cotées en continu de 09h00 à 17h40 tandis que les valeurs dont la liquidité est de moindre importance sont cotées par fixing à des horaires prédéterminés. Les titres considérés comme suffisamment liquides sont des titres qui font l’objet d’au moins 2 500 transactions par an.
Les indices boursiers à la Bourse de Paris
Euronext Paris diffuse différents indices de marché ainsi que des indices sectoriels. À l’occasion de la fusion des différents compartiments actions (Premier Marché, Second Marché, Nouveau marché) qui ont donné naissance à Eurolist, de nouveaux indices ont vu le jour afin de rendre mieux compte de l’évolution des marchés.
Organisation et fonctionnement de la Bourse de Paris
La négociation se réalisait traditionnellement à la criée. Depuis la fin des années 1980, la Bourse de Paris est désormais un marché entièrement électronique, grâce à la mise en place du système CAC (cotation assistée en continu), remplacé dans les années 1990 par la technologie NSC.
De manière générale, la Bourse de Paris est considérée comme un marché dirigé par les ordres ou marché d’agence. Les prix des actions cotées sont déterminés par la confrontation directe des ordres d’achat et de vente au sein d’un carnet d’ordres centralisé. Dans certains cas, des intermédiaires spécifiques appelés ‘teneurs de marché’ peuvent intervenir dans l’animation de la cotation de certaines valeurs : ceci donne lieu à la création de contrats d’apporteurs de liquidité. Leur travail consiste à placer des ordres en attente de manière à garantir l’existence d’une contrepartie.
La négociation des actions diffère selon leur liquidité. Les actions liquides sont cotées en continu de 09h00 à 17h40 tandis que les valeurs dont la liquidité est de moindre importance sont cotées par fixing à des horaires prédéterminés. Les titres considérés comme suffisamment liquides sont des titres qui font l’objet d’au moins 2 500 transactions par an.
Les indices boursiers à la Bourse de Paris
Euronext Paris diffuse différents indices de marché ainsi que des indices sectoriels. À l’occasion de la fusion des différents compartiments actions (Premier Marché, Second Marché, Nouveau marché) qui ont donné naissance à Eurolist, de nouveaux indices ont vu le jour afin de rendre mieux compte de l’évolution des marchés.
Histoire de la Bourse de Paris
L’existence de sociétés par actions en France est ancienne. La Compagnie des Indes-Orientales et Occidentales, créée par édit de juin 1669, était une société de ce type, ainsi que la Compagnie d’Afrique.
La banque générale, une société par actions créée par John Law en 1716, a été le vecteur de réalisation du système de Law, et a donné lieu à une spéculation effrénée, puis à une chute fracassante. C’est afin de rétablir un semblant d’ordre dans l’échange des actions après la banqueroute de Law, qu’un arrêt a été établi par le Conseil d’État du roi le 24 septembre 1724, donnant naissance à la bourse de Paris. La présence des femmes y est dès l’origine proscrite, et ce jusqu’en 1967.
La bourse a initialement occupé l’hôtel de Nevers, avant de transiter par plusieurs sites parisiens. En 1808, Napoléon Ier pose la première pierre du Palais Brongniart, conçu par l’architecte Alexandre Théodore Brongniart et destiné à accueillir la Bourse de Paris, institution considérée d’ordre public et appréhendée par l’Empereur comme le « thermomètre de la confiance publique » à cause de la présence des rentes 5% (résultant du tiers consolidé de la Banqueroute des deux tiers votée sous le Directoire) qui composent l’essentiel de la cote officielle et dont le cours est suivi avec assiduité par Napoléon Bonaparte.
Le bâtiment sera finalement inauguré sous la Restauration le 4 novembre 1826 et la Bourse de Paris, qui était provisoirement installée au Palais-Royal (depuis le 2 octobre 1809), entre enfin dans ce lieu qui lui était réservé et qui deviendra le poumon de l’activité financière du XIXe siècle, lequel voit s’épanouir la spéculation boursière dans tout ce qu’elle avait de nécessaire (apport au crédit public et aux fonds propres de l’industrie) et de néfaste (agiotage).
Une chronologie du siècle et demi suivant serait intéressante, la Bourse de Paris ayant successivement fondé au XIXe siècle l’expansion des chemins de fer, de la sidérurgie, et des grandes aventures coloniales.
Dans son livre Le grand méchant marché, l’économiste David Thesmar raconte qu’au début du XXe siècle, la place de Paris bénéficiait d’une forte activité chez les petits porteurs, qui s’est un peu assagie par la suite, et n’avait pas beaucoup à envier aux bourses anglo-saxonnes, si ce n’est l’absence d’investisseurs de long terme comme les fonds de pension.
Pierre-Cyrille Hautcoeur, directeur d’étude à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), estime à environ 2,5 millions le nombre de porteurs de titres à la fin de la Belle Époque, contre moins de 2 millions au début des années 1980.
L’un des meilleurs historiens de la Bourse de Paris est l’investisseur international André Kostolany, mort à Paris en 1999 à l’âge de 93 ans, et surtout connu en Allemagne où il écrivait chaque semaine une chronique pour le magazine Capital
Dans son livre ‘Si la Bourse m’était contée’, André Kostolany
raconte que la première bourse de valeurs organisée d’Europe est née à Anvers en 1592, mais qu’il a fallu, en France, attendre 1613, pour qu’un bâtiment spécialisé soit édifié sur le lieu des échanges, au Pont-Neuf (dans les villes italiennes de Florence et Venise, les échanges avaient lieu aussi sur un pont, respectivement le Ponte Vecchio et le Rialto).
Jusqu’à la fin des années 1980, la Bourse de Paris est gérée par la corporation des agents de change, qui bénéficiaient d’un monopole sur la cotation. Dès le début des années 1980, et suite à la recrudescence de la concurrence entre places boursières internationales, se pose la question de la modernisation de la Bourse de Paris, qui, jusqu’à cette époque, fonctionnait principalement à la criée. Le système CAC (cotation assistée en continu), introduit progressivement entre 1986 et 1989, a rendu possible la cotation en continu et la survie d’un marché qui était notamment menacé par la bourse de Londres. Cette informatisation fut suivie d’autres réformes institutionnelles, comme la modification du statut des agents de change et l’apparition de nouvelles sociétés de bourse. La Société des bourses françaises (acronyme de l’actuel indice SBF) fait suite à la Compagnie des agents de change (acronyme originel de l’actuel indice CAC40). La modernisation de la Bourse de Paris est accompagnée d’autres initiatives telles que la création, dès 1989, des marchés organisés de produits financiers dérivées – le MATIF et le MONEP, désormais regroupés sous l’appellation Euronext. Liffe depuis le rachat du LIFFE par Euronext en 2002 – ou la dématérialisation des titres (avec la création de la Sicovam).
Dès la fin des années 1990, et après la mise en place du NSC (Nouveau système de cotation), la Bourse de Paris lance une initiative de fusion entre diverses bourses européennes, qui culminera avec la création d’Euronext en 2000.
En 2007, le groupe Euronext a fusionné avec le NYSE pour donner naissance à la société holding NYSE Euronext. Le siège de la nouvelle entité est situé désormais à New York. Paris préserve un statut de siège international.
Histoire de la Bourse de Paris
L’existence de sociétés par actions en France est ancienne. La Compagnie des Indes-Orientales et Occidentales, créée par édit de juin 1669, était une société de ce type, ainsi que la Compagnie d’Afrique.
La banque générale, une société par actions créée par John Law en 1716, a été le vecteur de réalisation du système de Law, et a donné lieu à une spéculation effrénée, puis à une chute fracassante. C’est afin de rétablir un semblant d’ordre dans l’échange des actions après la banqueroute de Law, qu’un arrêt a été établi par le Conseil d’État du roi le 24 septembre 1724, donnant naissance à la bourse de Paris. La présence des femmes y est dès l’origine proscrite, et ce jusqu’en 1967.
La bourse a initialement occupé l’hôtel de Nevers, avant de transiter par plusieurs sites parisiens. En 1808, Napoléon Ier pose la première pierre du Palais Brongniart, conçu par l’architecte Alexandre Théodore Brongniart et destiné à accueillir la Bourse de Paris, institution considérée d’ordre public et appréhendée par l’Empereur comme le « thermomètre de la confiance publique » à cause de la présence des rentes 5% (résultant du tiers consolidé de la Banqueroute des deux tiers votée sous le Directoire) qui composent l’essentiel de la cote officielle et dont le cours est suivi avec assiduité par Napoléon Bonaparte.
Le bâtiment sera finalement inauguré sous la Restauration le 4 novembre 1826 et la Bourse de Paris, qui était provisoirement installée au Palais-Royal (depuis le 2 octobre 1809), entre enfin dans ce lieu qui lui était réservé et qui deviendra le poumon de l’activité financière du XIXe siècle, lequel voit s’épanouir la spéculation boursière dans tout ce qu’elle avait de nécessaire (apport au crédit public et aux fonds propres de l’industrie) et de néfaste (agiotage).
Une chronologie du siècle et demi suivant serait intéressante, la Bourse de Paris ayant successivement fondé au XIXe siècle l’expansion des chemins de fer, de la sidérurgie, et des grandes aventures coloniales.
Dans son livre Le grand méchant marché, l’économiste David Thesmar raconte qu’au début du XXe siècle, la place de Paris bénéficiait d’une forte activité chez les petits porteurs, qui s’est un peu assagie par la suite, et n’avait pas beaucoup à envier aux bourses anglo-saxonnes, si ce n’est l’absence d’investisseurs de long terme comme les fonds de pension.
Pierre-Cyrille Hautcoeur, directeur d’étude à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), estime à environ 2,5 millions le nombre de porteurs de titres à la fin de la Belle Époque, contre moins de 2 millions au début des années 1980.
L’un des meilleurs historiens de la Bourse de Paris est l’investisseur international André Kostolany, mort à Paris en 1999 à l’âge de 93 ans, et surtout connu en Allemagne où il écrivait chaque semaine une chronique pour le magazine Capital
Dans son livre ‘Si la Bourse m’était contée’, André Kostolany raconte que la première bourse de valeurs organisée d’Europe est née à Anvers en 1592, mais qu’il a fallu, en France, attendre 1613, pour qu’un bâtiment spécialisé soit édifié sur le lieu des échanges, au Pont-Neuf (dans les villes italiennes de Florence et Venise, les échanges avaient lieu aussi sur un pont, respectivement le Ponte Vecchio et le Rialto).
Jusqu’à la fin des années 1980, la Bourse de Paris est gérée par la corporation des agents de change, qui bénéficiaient d’un monopole sur la cotation. Dès le début des années 1980, et suite à la recrudescence de la concurrence entre places boursières internationales, se pose la question de la modernisation de la Bourse de Paris, qui, jusqu’à cette époque, fonctionnait principalement à la criée. Le système CAC (cotation assistée en continu), introduit progressivement entre 1986 et 1989, a rendu possible la cotation en continu et la survie d’un marché qui était notamment menacé par la bourse de Londres. Cette informatisation fut suivie d’autres réformes institutionnelles, comme la modification du statut des agents de change et l’apparition de nouvelles sociétés de bourse. La Société des bourses françaises (acronyme de l’actuel indice SBF) fait suite à la Compagnie des agents de change (acronyme originel de l’actuel indice CAC40). La modernisation de la Bourse de Paris est accompagnée d’autres initiatives telles que la création, dès 1989, des marchés organisés de produits financiers dérivées – le MATIF et le MONEP, désormais regroupés sous l’appellation Euronext. Liffe depuis le rachat du LIFFE par Euronext en 2002 – ou la dématérialisation des titres (avec la création de la Sicovam).
Dès la fin des années 1990, et après la mise en place du NSC (Nouveau système de cotation), la Bourse de Paris lance une initiative de fusion entre diverses bourses européennes, qui culminera avec la création d’Euronext en 2000.
En 2007, le groupe Euronext a fusionné avec le NYSE pour donner naissance à la société holding NYSE Euronext. Le siège de la nouvelle entité est situé désormais à New York. Paris préserve un statut de siège international.
Clôture Paris le CAC40 termine en hausse
LA TENDANCE Après un début de séance hésitant en Bourse de Paris dans le sillage des deux journées précédentes qui ont vu le CAC40 faire du surplace, le marché parisien s’est orienté en hausse dans l’après-midi pour terminer à 3.946 pts (+0,82%), aidé par le rebond des grandes valeurs ind
ustrielles. Wall Street aussi est solide ce mardi, soutenu par l’actualité toujours étoffée des fusions et acquisitions, avec notamment le deal Chevron / Atlas Energy et les rumeurs d’offre sur Yahoo!. Les publications trimestrielles des entreprises sont quant à elles moins denses, après la vague des résultats. ECO ET DEVISES Selon le Département américain au Commerce ce mardi, les stocks de grossistes aux États-Unis pour le mois de septembre 2010 ont augmenté de 1,5% en comparaison du mois antérieur, contre un consensus de place de 0,6%. Pour août, la hausse des stocks a été revue à 1,2%, contre 0,8% précédemment. Les stocks de grossistes grimpent ainsi de 7,9% sur un an, à 417 Mds$ en septembre. Les ventes progressent de 0,4% d’août à septembre et de 11,9% sur un an, à 353,9 Mds$. Le dollar termine proche des 1,3875/$ entre banques, alors que le pétrole campe à 87$ le baril à New-York. VALEURS EN HAUSSE * CGG Veritas grimpe de 7,5%. Le 3ème trimestre de CGG Veritas s’est soldé par un chiffre d’affaires de 656 Millions de Dollars, en baisse de -10% en glissement annuel, pour un résultat opérationnel de 27 M$, contre 58 M$ un an avant, qui matérialise une marge de 4% contre 8% précédemment. Le résultat net est déficitaire de -33 M$ après +12 ME un an avant. La dette nette est en hausse à 1,566 Md$, soit un ratio dette nette sur capitaux propres de 41% contre 32% l’année dernière au 30 septembre. Le directeur général Jean-Georges Malcor a déclaré ‘les résultats du troisième trimestre de CGGVeritas reflètent les conditions de marché défavorables qui caractérisent la période de bas de cycle que nous traversons. Dans ce contexte et malgré des ventes séquentiellement stables, notre rentabilité a été particulièrement affectée par la baisse du taux d’utilisation de nos navires et par les conditions de marché difficiles tant pour l’activité contractuelle marine que pour celle de la terrestre en Amérique du Nord’. Le dirigeant estime cependant que des signaux favorables sont apparus au cours des derniers mois. ‘Notre objectif est de tirer parti de l’intérêt accru de nos clients partout dans le monde pour notre avance technologique et notre savoir-faire, tout en capitalisant sur notre positionnement haut de gamme dans un marché sismique qui devrait progressivement reprendre’. CGG Veritas va se concentrer sur la réduction des coûts, la performance opérationnelle et la différentiation technologique. Le plan d’actions sera détaillé lors de la réunion investisseurs prévue le 16 décembre 2010. * Hermès International bondit de 7,5%. Le groupe a beau être richement valorisé en bourse, avec des attentes de place en conséquence, le groupe parvient encore à surprendre son monde avec une publication trimestrielle dépassant assez nettement les anticipations pourtant exigeantes de la place. Le groupe, désormais courtisé par LVMH, a réalisé un chiffre d’affaires de 590,1 Millions d’Euros au cours du 3ème trimestre 2010, en croissance de 30,5% en données publiées et de 20,2% à taux de change constants. La moyenne des attentes de cinq analystes faisait apparaître une prévision moyenne de 550 ME de revenus. Tous les métiers participent à la fête. ‘Compte tenu de la forte croissance au troisième trimestre, l’objectif annuel de progression des ventes à taux constants pourrait être de l’ordre de 15%. L’atteinte de cet objectif suppose la poursuite d’une tendance favorable lors des ventes de fin d’année qui avaient été particulièrement dynamiques au quatrième trimestre 2009’, a expliqué le groupe, qui visait jusque-là 12% de croissance organique. En outre, la marge opérationnelle courante, exprimée en pourcentage des ventes, devrait s’améliorer de un à deux points par rapport à 2009, en fonction de l’évolution des parités monétaires (contre un objectif de hausse de plus d’1 point auparavant). Même si les analystes jugeaient les projections antérieures ‘conservatrices’, le relèvement des objectifs semble les satisfaire. * Derichebourg remonte de plus de 5%, suivi de Wendel et de BioMerieux * Renault +4%, de retour sur ses meilleurs niveaux de l’année. Renault reste influencé par la récente appréciation du titre Nissan qui a rejoint les 775 Yens en bourse de Tokyo suite au relèvement de ses objectifs 2010-2011. Renault va déjà bénéficier dans ses comptes du troisième trimestre 2010 d’une contribution de 403 ME de la part de Nissan (à comparer à 134 ME en 2009 sur la même période). Renault mettra d’ailleurs à jour ses perspectives à moyen terme en février 2011 à l’occasion de la présentation d’un nouveau plan stratégique dans lequel Nissan aura bien sûr sa place. Dans l’actualité du jour, Fitch Ratings a annoncé avoir rehaussé la perspective de notation de Volvo de ‘négative’ à ‘positive’ afin de prendre en compte le redressement du profil financier du groupe après le sévère retournement des marchés des poids lourds et des engins de travaux publics en 2009. L’agence de notation confirme par ailleurs la note de crédit long terme à ‘BBB- et la note court terme à ‘F3’. Peugeot remonte aussi de 4%. * Rexel +4% avec Lafarge * Arkema +3,5%. Le groupe se démarque logiquement à la hausse sur la place parisienne, dans le sillage d’une solide publication trimestrielle. Le chimiste, comme d’autres entreprises européennes du secteur, recueille les fruits de son recentrage en affichant des comptes supérieurs aux attentes, et en relevant nettement ses prévisions. La société devrait réaliser 740 ME d’EBITDA sur l’exercice, contre ‘plus de 600 ME’ évoqués jusque-là et un consensus positionné à 704,2 ME avant l’annonce du jour. * STM +2,7% avec Eurofins qui poursuit sur sa lancée d’hier. * Nexans +2% en compagnie de Eramet, Valeo, Vallourec, Accor, Capgemini et Total (+1,6%) * Bouygues +1,5% avec Steria, Dexia, Vivendi et Axa * Crédit Agricole regagne 1%. Les résultats trimestriels du groupe seront publiés demain. VALEURS EN BAISSE * SoiTec redonne 2,3% sur des prises de profits * Quelques prises de bénéfices aussi sur SES et Ubisoft qui cède 1,4%’
‘